mardi 6 avril 2010

Spring is here.


Spring is here!
Why doesn’t my heart go dancing ?
Spring is here!
Why isn’t the waltz entrancing?
No desire, no ambition leads me.
Maybe it’s because nobody needs me.

samedi 27 février 2010

Macaron, oh mon doux macaron.


Ils étaient là à me narguer sur la devanture de la boutique, ces beaux macarons de toutes les couleurs, bien croustillants et tendres à la fois. Ils me suppliaient à coup de 'prend moi prend moi !' et comme à chaque fois que je passais devant, je devais résister à l'envie de courir tous les acheter (et me ruiner au passage). Jusqu'à ce que je trouve la solution : j'allais les réaliser moi-même. Pourquoi n'y avais-je pas pensé plus tôt ?

Parce que je suis une excellente piètre cuisinière. Autour de moi, on essayait de me décourager, de me prévenir de l'énorme difficulté de la recette et les mots 'désastre culinaire' revenaient fréquemment dans leur discours. Ni une, ni deux, cela n'a fait que renforcer mon désir de réussite.

Me voilà avec tous les ingrédients devant moi, je ne pouvais me désister qu'en cas d'accident grave (un ongle cassé, par exemple). Je retrousse mes manches et m'y attèle. Bizarrement, les instructions ne me semblent pas bien compliquées et je débrouille plutôt pas mal, ça remotive. Et là le stress, je m'aperçois qu'il est indiqué d'utiliser une douille pour dresser les macarons si désirés. Une douille ? C'est un mot bien de trop professionnel pour moi ! Sans hésiter je m'empare d'un sac congélateur, glisse délicatement la pâte à l'intérieur, le noue et coupe une des extrémités : le résultat est identique, je suis sauvée dieu merci.

Au moment de les déguster (moment aussi stressant que celui de les sortir du four), je suis agréablement surprise. Sans toutefois être aussi délicieux que ceux de Ladurée – faut pas exagérer quand même – la texture et le goût sont plutôt réussit : j'avais gagné la guerre contre les macarons. Autant gagner celle contre le kaki militaire et les sabots est perdu d'avance, autant je vous promet que les macarons sont REALISABLES ! Pour celles et ceux qui veulent s'y essayer, la recette est ici. Good luck !


Jukebox : Maria Muldaur - Cooking breakfast

Mariolina.
Picture from *

Mon Vogue Mars arrive paisiblement il y a quelques jours, je l'ouvre impatiente (en plus il est super épais) et, là, dès la une du magazine tout est dit : Coup d'éclat militaire.

Eh oui, le militaire et le kaki attaquent de toutes parts. Que ce soit avec les bottes Isabel Marant camouflage ou les inombrables trenchs couleur caca d'oie. Une tendance qui s'accompagne de l'arrivée de sabots ! Mélanger des semelles en bois, version ferme, et imper tacheté vert et marron, version chasse, est-ce possible ou du moins est-ce envisageable ? Apparement oui.
Je n'arrive pas à cacher ma deception quant à l'arrivée de ces tendances, j'ai toujours detesté les fringues camouflages de l'armée et les sabots en plus d'etre inconfortables, lourds, et super bruyants, c'est même pas sexy. Alors non, je ne serais pas une vraie fashionata qui se respecte, je ne suivrais pas cette mode, même si Vogue m'harcèle.


Jukebox : Kate Bush - Army Dreamers
Laure.

vendredi 26 février 2010



Deux délurées dans un océan déchainé se sont trouvées, et comptent bien refaire le monde, mais en ajoutant, cette fois-ci leur grain de sucre
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Jukebox : Mirwais - Naive song